Le patrimoine du diocèse de Rodez témoigne de siècles de présence de l’Église sur notre terre du Rouergue.
Préserver ces biens immobiliers, anciens ou nouveaux, grâce à une gestion responsable et professionnelle est essentiel pour continuer à répondre à la mission d’évangélisation et de pastorale de notre Église.
L’Église catholique en Aveyron se doit en effet d’être visible, ouverte, accueillante et disponible à chacun. Elle doit pouvoir bénéficier de lieux d’accueil, de rassemblement et de prière chaleureux et sûrs, qu’ils soient diocésains ou paroissiaux, pour annoncer, célébrer et servir la rencontre.
Elle doit aussi mettre à disposition des ouvriers qui travaillent à la moisson du Seigneur, des bâtiments fonctionnels et adaptés.
Mon don pour les chantiers contribuera à :
participer financièrement aux chantiers pour construire, restaurer, entretenir, réhabiliter, mettre en conformité, embellir, rénover ou réaménager les nombreux lieux au service de la fraternité et de l’espérance.
Soutenir ces projets est une façon est une façon d’inscrire dans le temps votre action en faveur de l’Église en Aveyron, de contribuer à la construction d’une Église vivante et missionnaire !
Votre don construit l’Église du Christ !
Pour cela aussi, nous avons besoin de votre soutien financier.
Aujourd’hui, plusieurs chantiers sont en cours. Découvrez-les :
L’Église de Naussac – Restauration des vitraux
L’église de Naussac a subi lors de la tempête du 11 juillet 2024, d’importants dégâts. Les vitraux ont été explosés par la grêle. La paroisse Notre-Dame d’Olt et Diège est sollicitée par Monsieur le Maire du village pour la restauration des vitraux et l’urgence climatique nous incite, à la mise en place de protections.
Nous allons procéder au remplacement des vitraux cassés et surtout, nous souhaitons faire installer des protections afin d'éviter les futures chutes de grêle.
Utilisation des fonds : Les fonds serviront au financement de la mise en place de protection des vitraux afin d'éviter de futurs dégâts, lors d'événement climatique. Le coût des travaux, non pris en charge par l’assureur s’élève à 15 000 €.
Nous comptons sur votre générosité pour la préservation de nos églises.
L'église Sainte-Croix a subi de multiples transformations. De l'église romane il ne reste aucun vestige. Le monument que nous voyons aujourd'hui date pour l'extérieur de la toute fin du XIXe et du début du XXe siècles, époque où l'on édifia le grand clocher visible de loin, reconstruit à l'instigation de l'évêque qui souhaitait que la Salvetat fût dotée d'un clocher digne du chef-lieu de canton que notre commune était jusqu'en 2015.
L'intérieur laisse apparaître aux visiteurs les modifications qu'a subies l'édifice. L'église avait été reconstruite au XVIe siècle en style gothique tardif à l'époque de la Renaissance en remplacement de la précédente. Elle comportait une nef unique dont la partie centrale existe toujours, qui se prolongeait par un chœur plus petit que l'actuel. Elle ne possédait ni sacristie ni portail à l'ouest. Des chapelles latérales s'ouvraient de chaque côté, édifiées par le soin de familles en vue de la Salvetat ou des environs et dotées de revenus destinés à entretenir des chapelains (obituaires) chargés de dire des messes à la mémoire des bienfaiteurs. Au XIXe siècle l'église se révéla trop petite pour accueillir une population toujours plus nombreuse.
Des travaux successifs furent entrepris: nouveau chœur plus grand, transept, deux bas-côtés (à la place des chapelles latérales), une sacristie au nord, reconstruction du mur ouest avec ouverture du grand portail, remplacement de la tour par le grand clocher. Ne pas hésiter à pénétrer à l'intérieur pour admirer les trois travées de l'église de la Renaissance et en particulier la voûte de l'une d'elles qui reproduit celle du jubé de la cathédrale de Rodez (maintenant transférée au narthex), architecte Antoine Salvan. Les clefs de voûte comportent des dates : 1589, 1599, 1897
L’église Sainte-Croix de La Salvetat-Peyralès attestée en 1147 dans une bulle du pape Eugène III, qui avait besoin d’une rénovation intérieure, subit actuellement de gros travaux de restauration :
refonte totale de l’électricité, y compris le chauffage,
refonte totale de l’éclairage, y compris patrimonial,
refonte totale de la sonorisation,
restauration des vitraux du chœur,
mise en peinture de la nef et de ses voûtes.
Ce chantier important a été rendu possible grâce à un legs du père Frayssinet qui est resté 50 ans curé de cette église. Ces travaux, validés par l’évêché et par l’exécuteur testamentaire, sont conduits par un collectif réunissant l’Association de Sauvegarde du Patrimoine de la Salvetat, qui en est le Maître d’Ouvrage, et la paroisse St Jean Baptiste du Ségala.
La Mairie, pour sa part, a toujours assuré les réparations nécessaires du clos et du couvert qui lui incombent et installe en ce moment un accès pour Personnes à Mobilité Réduite. Elle est Maître d’Œuvre pour des raisons pratiques dans ce projet.
Les travaux programmés sont couverts par le legs mais il s’avère nécessaire en plus de repeindre le chœur, moins abimé que la nef, pour maintenir l’harmonie générale du monument.
C’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité pour nous aider à remettre en état complètement notre église.
Depuis 1958, année du centenaire des apparitions de Lourdes, une statue a été érigée sur une hauteur qui domine le village de Saint-Jean-du-Bruel. Depuis, cette statue, appelée Notre-Dame de la Sentinelle, veille maternellement sur le village et reste ainsi un signe invitant à vivre l’Évangile.
A la fin de l’hiver 2023, des malfaiteurs ont sectionné huit des doigts de cette statue.
Sa réparation s’avérant trop hypothétique, il avait été décidé à l’automne 2023 de procéder à son renouvellement.
Après avoir pris connaissance des réactions suscitées par les divers projets, le curé de la paroisse Saint Amans Larzac Dourbie Cernon et l’équipe d’animation paroissiale, ont décidé de retenir le projet original proposé par Jean‑Jacques BRIS, artiste sculpteur religieux du village.
Cette opération est susceptible d’aboutir à l’été 2025, mais les besoins de financement restent importants.
L’église de Port d’Agrès s’élève au centre du village historique d’Agrès sur la rive droite du Lot entre Conques et Decazeville.
L’église de Port d’Agrès s’élève au centre du village historique d’Agrès sur la rive droite du Lot entre Conques et Decazeville.
Elle fut érigée vers 1600 en lieu et place d’un petit sanctuaire à la suite d’une inondation du Lot qui dévasta l’ancienne église située quelques mètres en aval à proximité du pont de Port d’Agrès.
Le sanctuaire fut prolongé à l’ouest par la création du clocher existant aujourd’hui avec sa petite porte. A l’est face au cimetière on construisit le chœur de l’église et on y rajouta deux chapelles.
En 1839, l’église nettement insuffisante pour la population subit un nouvel agrandissement.
Les chapelles et la partie centrale de l’antique sanctuaire sont démolis et une nouvelle construction est établie entre le chœur à l’est et le clocher à l’ouest.
L’église n’est plus tournée vers le soleil levant mais vers le Nord. On y bâtit le chœur actuel et dans la direction sud la nef avec la grande porte.
La partie conservée à l’est est dédiée à Notre Dame et celle de l’ouest soutenant le clocher est dédiée à St Roch.
Vers 1855 : création du chemin de croix.
1858 : décoration du chœur et chapelles et réalisation de la tribune.
1882 : dallage en ciment.
1928 : surélévation de la chapelle à Marie à la hauteur du reste de l’édifice (Abbé Bourdoncle).
1961 à 1963 l’abbé Lacassagne fait apposer les 9 vitraux.
Depuis plusieurs années, notre église perd de sa superbe. L’humidité a abîmé crépis et boiseries au point que dans la chapelle dédiée à St Roch, côté ouest, des plaques d’enduit se détachent du mur de même au niveau de la voûte qui borde le chœur.
La vétusté des boiseries ornant les retables les met en péril et a d’autre part entraîné la chute de certains luminaires du chœur. De même le plancher qui constitue la base du chœur s’est affaissé.
Au niveau électricité, l’installation n’a pas été révisée depuis l’électrification des cloches, autant dire plusieurs décennies.
A ce portrait peu flatteur nous pouvons ajouter l’écaillement des peintures dégradées par l’humidité ou noircies par le chauffage au fioul.
Le coût des travaux est estimé à 93177 ,73 €
Mais l’église d’Agrès possède malgré cela plusieurs atouts.
Celui d’être située au pied du rocher de Gironde sur lequel trône la chapelle de Gironde, sanctuaire marial, lieu de pèlerinage pour l’Ascension et de l’Assomption et fleuron de notre région.
Un sentier pédestre conduit à travers bois d’Agrès à Gironde, pèlerins et randonneurs pour une élévation tant physique que spirituelle.
Pour entretenir cette chapelle dépendante de la Paroisse de Port d’Agrès, longtemps les paroissiens d’Agrès et les pèlerins ont participé financièrement ou ont donné de leur personne pour réaliser les travaux délaissant un peu l’église. Aujourd’hui l’église d’Agrès a besoin qu’on lui rende la pareille.
D’autre part l’église demeure le lieu de rassemblements plus intimes. Tant que de petites communautés demeurent actives et dynamiques, si petites soient-elles, nous avons le devoir de continuer à entretenir ces lieux.
Nous voulons pérenniser notre églises, témoin d’une foi passée, présente et à venir.
Nous sommes pleins d’espérance pour relever le défi mais sans soutien financier la tâche paraît si vaste.
Accompagnez-nous en soutenant notre projet afin que l’église de Port d’Agrès demeure un lieu de prière vivant, sûr et accueillant.
Le tableau de Notre-Dame-du-Saint-Rosaire qui se trouve à l'église Sainte-Marie-Madeleine de Belcastel a souffert des outrages du temps.
Cette peinture sur bois a été réalisée par Jean-Baptiste Delmas en 1845. Le tableau représente La Vierge Marie avec dans ses bras l’enfant Jésus. Marie offre le rosaire à saint Dominique, et l’enfant Jésus à sainte Catherine de Sienne. Tous deux sont dominicains
La restauration qui s'engage, vraisemblablement la première, est indispensable pour assurer la sauvegarde.
L'aide financière des fidèles est sollicitée. Des messes seront dites aux intentions des familles donatrices. Merci
Pour assurer son bon fonctionnement matériel, le diocèse de Rodez, comme chaque diocèse de France, dispose d’une association diocésaine, association cultuelle autorisée à recevoir des dons et legs (article 2-11-2e, alinéa de la loi du 23/07/87 sur le développement du mécénat – J.O du 24/07/87) fiscalement assimilée aux associations d’utilité publique en matière de dons. Ceci permet aux donateurs de bénéficier d’une déduction d’impôt sur le revenu à hauteur de 66 % du montant du don, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
Ainsi, un don de 100 € ne vous coûte réellement que 34 €.
Vous recevrez un reçu fiscal à cet effet.
Merci pour votre don au Denier !
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